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Les Amoureuses

Can. 1993. Drame sentimental de Johanne Prégent avec Louise Portal, Léa-Marie Cantin, Kenneth Welsh. Alors que sa meilleure amie vient de tomber amoureuse, une quadragénaire connaît pour sa part des difficultés dans sa vie de couple. Regard plein de tendresse sur deux histoires d'amour en parallèle. Dialogues abondants mais justes et sensibles. Mise en scène discrète. Interprétation nuancée.

Général
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Les Amoureuses (Les Amoureuses)

Général Général

Can. 1993. Drame sentimental de Johanne Prégent avec Louise Portal, Léa-Marie Cantin, Kenneth Welsh.

Alors que sa meilleure amie vient de tomber amoureuse, une quadragénaire connaît pour sa part des difficultés dans sa vie de couple. Regard plein de tendresse sur deux histoires d'amour en parallèle. Dialogues abondants mais justes et sensibles. Mise en scène discrète. Interprétation nuancée.

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Deux amies à l'aube de la quarantaine, Léa et Marianne, sont arrivées à une période de leur existence où elles se posent beaucoup de questions d'ordre affectif. Après dix ans d'amour avec David, Léa sent que sa relation de couple est dans un cul-de-sac. La rupture paraît inévitable, surtout depuis l'infidélité de David avec une de ses étudiantes. A cinquante ans, son compagnon semble avoir perdu le désir et Léa ne peut rien face à sa détresse intérieure. Marianne, par contre, a fait la connaissance de Nino et la passion s'est remise petit à petit à régir sa vie. Si les circonstances teintent différemment leurs vécus, les deux femmes n'en doutent pas moins de la pérennité du sentiment amoureux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce regard plein de tendresse sur deux histoires d'amour en parallèle essaie d'exprimer de l'intérieur la vulnérabilité et les émotions profondes ressenties par quatre personnes à l'automne de leur jeunesse. La réalisatrice y est arrivée en partie, surtout dans l'observation des comportements du couple qui se défait. Pour cela, elle a misé sur des dialogues abondants, mais toujours empreints de sensibilité et de justesse, et sur une mise en scène discrète qui s'efface avec tact devant les personnages. L'analyse n'est peut-être pas toujours assez affinée, mais le constat s'avère parfaitement lucide. Les interprètes jouent avec les nuances voulues.

Texte : Christian Depoorter

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