1492: Christophe Colomb (1492: Conquest of Paradise)

Name: 1492: Christophe Colomb
Director: Ridley Scott
Genre: Drame historique
Duration: 150 min.

G.-B. 1992. Drame historique de Ridley Scott avec Gérard Depardieu, Armand Assante, Sigourney Weaver. Les principales étapes de la découverte du Nouveau Monde par le navigateur génois Christophe Colomb. Scénario manquant de rigueur dramatique. Personnages schématisés. Effets appuyés. Mise en scène spectaculaire. Jeu monolithique de G. Depardieu.

1492: Christophe Colomb (1492: Conquest of Paradise)

13 ans + (violence)

G.-B. 1992. Drame historique de Ridley Scott avec Gérard Depardieu, Armand Assante, Sigourney Weaver.

Les principales étapes de la découverte du Nouveau Monde par le navigateur génois Christophe Colomb. Scénario manquant de rigueur dramatique. Personnages schématisés. Effets appuyés. Mise en scène spectaculaire. Jeu monolithique de G. Depardieu.

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Genre :

Drame historique

Année :

1992

Durée :

150 min.

Réalisation :

Ridley Scott

Scénario :

Roselyne Bosch

Photographie :

Adrian Biddle

Musique :

Vangelis

Montage :

William M. Anderson
Françoise Bonnot

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Gérard Depardieu
Armand Assante
Sigourney Weaver
Tcheky Karyo
Angela Molina
Fernando Rey
Michael Wincott
Kevin Dunn
Frank Langella

Après plusieurs années d'efforts, le marchand génois Christophe Colomb réussit à persuader Isabelle de Castille de financer une expédition navale vers l'ouest. Le navigateur espère ainsi ouvrir une nouvelle route vers l'Orient. Le 12 octobre 1492, il aborde le rivage de l'île de San Salvador, où il fait la rencontre d'une tribu d'indigènes. Il y établit un poste de garde et revient victorieux en Espagne. Muni des pleins pouvoirs, Colomb repart pour le Nouveau Monde en septembre 1493. Il fonde une colonie à Hispaniola (Haïti), mais sa tentative de maintenir des rapports pacifistes avec la population autochtone s'avère un échec.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La facture spectaculaire et parfois époustouflante de cette superproduction ne peut racheter les faiblesses d'un scénario démagogique. Pour ambitieux qu'il soit, le projet souffre néanmoins d'un manque flagrant de rigueur dramatique et d'une construction anecdotique qui développe des personnages schématiques. À travers une mise en scène maniériste et déclamatoire, Ridley Scott appuie avec une insistance exagérée chacun de ses effets, que ce soit les ralentis abusifs, les effets sonores tonitruants ou la musique emphatique de Vangelis. L'entreprise profite par ailleurs d'une excellente distribution que vient cependant entacher le jeu monolithique de Depardieu.

Texte : André Caron

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