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Riff-Raff

G.-B. 1991. Drame social de Ken Loach avec Robert Carlyle, Emer McCourt, Jimmy Coleman. Épris d'une jeune chanteuse, un ouvrier de la construction découvre qu'elle se drogue. Portrait incisif et spirituel de l'Angleterre tatchérienne. Personnages vivants et attachants. Mise en scène de style quasi-documentaire. Jeu très naturel des interprètes.

13 ans +
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Riff-Raff (Riff-Raff)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 1991. Drame social de Ken Loach avec Robert Carlyle, Emer McCourt, Jimmy Coleman.

Épris d'une jeune chanteuse, un ouvrier de la construction découvre qu'elle se drogue. Portrait incisif et spirituel de l'Angleterre tatchérienne. Personnages vivants et attachants. Mise en scène de style quasi-documentaire. Jeu très naturel des interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Stevie, un jeune sans-abri, est engagé sur un chantier de construction dont les ouvriers travaillent au noir. Il est chaleureusement accueilli par les travailleurs qui vont même jusqu'à l'aider à se loger. Les conditions de travail laissent cependant à désirer: les règles de sécurité les plus élémentaires sont à peine respectées. Stevie fait la connaissance de Susan, une jeune femme qui tente en vain de gagner sa vie comme chanteuse. Il se prend d'affection pour elle et l'invite à venir demeurer chez lui. Leur relation connaît des hauts et des bas jusqu'à ce que Stevie découvre que Susan se drogue, il décide alors de rompre. Par ailleurs, un accident de travail mortel révolte le jeune homme qui décide de mettre le feu au chantier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ken Loach demeure fidèle à lui-même avec ce portrait incisif et spirituel de l'Angleterre tatchérienne. Le récit procède d'une grande liberté d'écriture, tant et si bien que certaines scènes paraissent improvisées. D'ailleurs, le jeu très naturel des interprètes va dans ce sens, tout comme la mise en scène de style quasi-documentaire. Les personnages ne sont pas développés outre mesure, mais ils sont vivants et attachants. Loach utilise abondamment la satire et l'ironie pour faire passer en douce sa critique sociale et politique, sans pour autant tomber dans la caricature ou la facilité. Seule la fin, plutôt démagogique, déçoit un peu.

Texte : Martin Girard

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