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L'Assassin jouait du trombone

Can. 1991. Comédie policière de Roger Cantin avec Germain Houde, Anaïs Goulet-Robitaille, Julie St-Pierre. Un agent de sécurité est injustement soupçonné d'être le responsable d'une série de meurtres commis dans un studio de cinéma. Pastiche des films noirs américains manquant de finesse. Scènes inutilement étirées. Quelques trouvailles techniques amusantes. Interprétation dans le ton voulu.

Général
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L'Assassin jouait du trombone (L'Assassin jouait du trombone)

Général Général

Can. 1991. Comédie policière de Roger Cantin avec Germain Houde, Anaïs Goulet-Robitaille, Julie St-Pierre.

Un agent de sécurité est injustement soupçonné d'être le responsable d'une série de meurtres commis dans un studio de cinéma. Pastiche des films noirs américains manquant de finesse. Scènes inutilement étirées. Quelques trouvailles techniques amusantes. Interprétation dans le ton voulu.

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Allegro
Producteurs :
Alors qu'il travaille comme agent de sécurité aux studios de cinéma Popcorn International, Augustin Marleau reçoit la visite de sa fille Josée. Cette nuit-là, un des cinq propriétaires des studios est retrouvé mort dans une salle de montage. Soupçonnant Marleau de l'avoir tué, un policier en quête de promotion décide de le faire surveiller. Bientôt, les dirigeants de Popcorn sont éliminés l'un après l'autre par un tueur mystérieux qui laisse toujours derrière lui des indices pouvant incriminer Marleau. Josée entreprend alors de démasquer l'assassin, mais elle est entraînée avec son père dans une machination au dénouement fantastique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour son second long métrage, Roger Cantin se lance dans un pastiche des films noirs américains. Aussi soigné et enthousiaste que soit l'exercice, il faut bien avouer que te cinéaste s'aventure dans un registre aux possibilités limitées. Son film manque de finesse et les gags tombent souvent à plat. Les scènes s'étirent inutilement et les développements d'une intrigue qui se veut complexe se révèlent plutôt convenus. Malgré tout, il se dégage de l'ensemble une bonhomie conquérante et certaines trouvailles techniques réussissent à amuser. A défaut d'être subtils, les comédiens choisissent de plonger volontiers dans la pléthore expressive que requiert cette galéjade.

Texte : André Caron

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