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Deep Blues

G
1991 ·
100% est d'accord avec la cote
Un journaliste traverse le sud des États-Unis pour aller s'entretenir avec certains maîtres méconnus du blues.
Discours analytique de qualité. Approche nettement "anthropo-musicologique". Document d'archives d'importance. Facture visuelle plutôt artisanale.

L'avis de Mediafilm

Bien qu'il n'impressionnera personne par sa facture visuelle plutôt artisanale et le simplisme de sa construction narrative qui rappelle par moments certaines visites guidées à bord d'autocars (c'est ainsi que Robert Palmer nous transporte d'un village à l'autre et d'un artiste à l'autre), le documentaire se signale par la qualité de son discours analytique et l'approche nettement anthropo-musicologique de ses auteurs. Ainsi, ces derniers ont soin de filmer intégralement les performances des artistes qu'ils ne déracinent pas de leur milieu social. Un legs audiovisuel à la postérité puisque ces gens du blues sont ignorés par l'industrie du disque. DEEP BLUES deviendra sans doute un document d'archives de grande importance.

Johanne Larue

Synopsis

Accompagné de David A. Stewart, ex-membre du duo Eurythmies, le critique Robert Palmer, collaborateur de longue date à la revue "Rolling Stones", traverse le sud des Etats-Unis pour aller s'entretenir avec certains maîtres méconnus du blues, les Roosevelt Barnes, "Big" Jack Johnson, Jessie Mae Hemphill et cie. Palmer les interviewe chez eux, ainsi que dans les clubs où ils donnent des concerts. Le journaliste complète son étude en faisant devant la caméra ses propres commentaires analytiques sur l'origine, la nature et l'influence du blues noir américain.

Année

1991

Genre

Documentaire

Durée

91 min.

Origine

États-Unis

Information

Classification

G

Genre

Documentaire

Année

1991

Durée

91 min.

Réalisation

Pays

États-Unis

Distribution

Del Fuego