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Printemps perdu

G
1990 ·
100% est d'accord avec la cote
Un chanteur d'opéras chinois envoyé dans un camp de travail en Mongolie épouse une orpheline secrètement amoureuse d'un autre homme.
Oeuvre tantôt sereine, tantôt tourmentée. Traitement d'un réalisme stylisé. Interprétation sobre.

L'avis de Mediafilm

Cette production française a été tournée entièrement en Chine par un réalisateur occidental sinophile qui en était à son premier film de long métrage. Pour un essai, c'est une jolie réussite. Des scènes d'un réalisme stylisé y alternent avec un imaginaire inspiré de la tradition de l'opéra chinois. Il y a bien quelques touches d'artifice dans l'illustration mais cela même concourt au charme particulier d'un ensemble tour à tour serein ou tourmenté. Les interprètes rendent un maximum de sentiments avec un minimum d'expression.

Synopsis

Pendant la révolution culturelle, le chanteur d'opéra chinois Yen a été soumis à un processus de "rééducation" d'abord en prison puis dans un camp de travail en Mongolie. Une fois libéré, il reste dans cette région et devient chauffeur de camion. Un camarade de travail lui déniche une épouse en la personne d'une orpheline, Ling Ling, dont son oncle a la charge. Un jour, Yen surprend sa femme en compagnie d'un voisin miséreux, Feng, qui lui révèle que Ling et lui s'aiment depuis l'enfance et ont été séparés par le sort. Yen permet leur réunion et, de son côté, monte avec des amateurs un opéra dont le souvenir l'a soutenu aux heures sombres.

Année

1990

Genre

Drame poétique

Durée

86 min.

Origine

France

Information

Classification

G

Genre

Drame poétique

Année

1990

Durée

86 min.

Réalisation

Pays

France

Distribution

Crépuscule