Parlez-nous d'amour

Name: Parlez-nous d'amour
Director: Jean-Claude Lord
Genre: Drame de moeurs
Duration: 127 min.

Can. 1976. Drame de moeurs de Jean-Claude Lord avec Jacques Boulanger, Monique Mercure, Benoît Girard. Les désenchantements de l'animateur d'une émission de variétés à la télévision. Portrait peu flatteur du milieu du spectacle. Traitement insuffisamment nuancé. Construction dramatique plutôt boîteuse. Interprétation caricaturale.

Parlez-nous d'amour (Parlez-nous d'amour)

13 ans +

Can. 1976. Drame de moeurs de Jean-Claude Lord avec Jacques Boulanger, Monique Mercure, Benoît Girard.

Les désenchantements de l'animateur d'une émission de variétés à la télévision. Portrait peu flatteur du milieu du spectacle. Traitement insuffisamment nuancé. Construction dramatique plutôt boîteuse. Interprétation caricaturale.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1976

Durée :

127 min.

Réalisation :

Jean-Claude Lord

Scénario :

Michel Tremblay

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Les Films Séville

Producteurs :

Interprètes :

Jacques Boulanger
Monique Mercure
Benoît Girard
Claude Michaud

Jean-Claude Michot est l'animateur d'une émission de variétés à la télévision. Idole du public féminin, il profite de sa popularité pour obtenir des avantages pécuniaires et ne dédaigne pas certaines aventures facilitées par son rôle. Sa femme Lise, de dix ans son aînée, tolère ses incartades mais l'encourage à renoncer aux compromissions du milieu. Jean-Claude est témoin de diverses vilenies chez ceux qui l'entourent, méprise son public, se dégoûte lui-même et finit par abandonner son émission.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est un portrait peu flatteur que font Jean-Claude Lord et Michel Tremblay du milieu du spectacle. Il aurait d'ailleurs gagné à être plus nuancé pour paraître plus vraisemblable. On l'a conçu comme une suite d'incidents, une sorte de musée des horreurs dont la construction dramatique est plutôt boîteuse. Après avoir accroché l'intérêt au début, le film traîne en longueur et s'avère répétitif. Les personnages sont présentés sous des traits caricaturaux accusés et l'interprétation s'en ressent.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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