Eraserhead

É.-U. 1976. Drame fantastique de David Lynch avec John Nance, Charlotte Stewart, Jeanne Bates. Un couple vivant dans un taudis prend soin de son bébé monstrueux à l'apparence larvaire. Mélange fascinant d'étrange et de grotesque. Climat de cauchemar aux éléments bizarres et terrifiants. Humour noir. Bande sonore insolite. Interprétation dans le ton voulu.

Eraserhead (Eraserhead)

13 ans + (horreur)

É.-U. 1976. Drame fantastique de David Lynch avec John Nance, Charlotte Stewart, Jeanne Bates.

Un couple vivant dans un taudis prend soin de son bébé monstrueux à l'apparence larvaire. Mélange fascinant d'étrange et de grotesque. Climat de cauchemar aux éléments bizarres et terrifiants. Humour noir. Bande sonore insolite. Interprétation dans le ton voulu.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1976

Durée :

89 min.

Réalisation :

David Lynch

Pays :

États-Unis

Distributeur :

n/d

Interprètes :

John Nance
Charlotte Stewart
Jeanne Bates

Un imprimeur, Henry Spencer, vit seul dans une chambre minable où il est sujet à des rêveries morbides. Invité à dîner chez elle par une amie, Mary, il se voit poussé à l'épouser par les parents de la jeune fille qui l'accusent de l'avoir rendue enceinte. Une fois mariés, Henry et Mary partagent toujours le même taudis tout en prenant soin d'un bébé monstrueux à l'apparence larvaire. Mary s'en va, incapable de supporter les plaintes de l'enfant et Henry reste seul à s'occuper du petit monstre. Sa voisine semble vouloir le réconforter mais Henry est voué à un destin horrifiant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Mêlant assez adroitement l'étrange et le grotesque, le film se présente comme un essai exploratoire dans le monde de l'horreur. Du début à la fin, le réalisateur, un débutant, a créé un climat de cauchemar aux éléments bizarres et terrifiants. Une forme d'humour noir allège par moments ces images d'un misérabilisme accentué soutenues par une bande sonore insolite. Il en résulte une oeuvre inquiétante, d'une morbidité affichée, et pourtant fascinante par divers aspects. Le personnage central est joué avec une impassibilité étonnante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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