Remarquable

Les Hauts de hurlevent (Wuthering Heights)

Name: Hauts de hurlevent, Les
Director: Robert Fuest
Genre: Drame sentimental
Duration: 105 min.

G.-B. 1970. Drame sentimental de Robert Fuest avec Timothy Dalton, Anna Calder-Marshall, Harry Andrews. Un enfant trouvé qui a été élevé dans une famille riche devient amoureux de la fille de son bienfaiteur. Adaptation du roman d'Emily Brontë. Approche rude. Mise en scène honorable. Paysages bien choisis. Interprétation inégale.

Les Hauts de hurlevent (Wuthering Heights)

Général

G.-B. 1970. Drame sentimental de Robert Fuest avec Timothy Dalton, Anna Calder-Marshall, Harry Andrews.

Un enfant trouvé qui a été élevé dans une famille riche devient amoureux de la fille de son bienfaiteur. Adaptation du roman d'Emily Brontë. Approche rude. Mise en scène honorable. Paysages bien choisis. Interprétation inégale.

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Genre :

Drame sentimental

Année :

1970

Durée :

105 min.

Réalisation :

Robert Fuest

Scénario :

Patrick Tilley
D'après le roman de Emily Brontë

Photographie :

John Coquillon

Musique :

Michel Legrand

Montage :

Ann Chegwidden

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Timothy Dalton
Anna Calder-Marshall
Harry Andrews
Hugh Griffith
Ian Ogilvy
Judy Cornwell
Pamela Brown
James Cossins
Rosalie Crutchley
Hilary Dwyer
Julian Glover
Morag Hood

Un enfant trouvé, Heathcliff, est élevé dans la famille d'un riche fermier. Une solide affection se développe entre Heathcliff et Cathy, la fille de son bienfaiteur. À la mort de son père, Hindley, frère de Cathy, réduit Heathcliff au rang de serviteur. Cathy épouse un seigneur voisin, Edgar Linton, et Heathcliff s'enfuit à l'étranger. Il revient fortune faite et la passion qui l'unit à Cathy provoque divers incidents dramatiques qui entraînent la mort des deux amants.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'oeuvre d'Emily Brontë avait déjà été portée à l'écran par William Wyler au cours des années 1930. L'approche de Robert Fuest est plus rude que celle de son prédécesseur et correspond peut-être mieux au monde campagnard évoqué dans le roman. Elle manque cependant de cette aura de poésie romantique qui dominait le film précédent. Les paysages sont bien choisis et la mise en scène est plus qu'honnête en dépit de quelques maladresses. L'interprétation est inégale; si Timothy Dalton a de la présence, Ana Calder-Marshall n'a pas la personnalité voulue pour suggérer une passion capable de vaincre la mort.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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