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Médée (Medea)

G
1969 · Medea (ang)
100% est d'accord avec la cote
Partir quérir la toison d'or, Jason revient au pays avec Médée dont il aura deux enfants et qu'il répudiera dix ans plus tard.
Évocation stylisée d'une tragédie grecque d'Euripide. Ensemble d'une grande richesse visuelle. Style insolite. Rythme lent. Interprétation solide.

L'avis de Mediafilm

La tragédie de Médée se présente ici en une suite d'images très belles, souvent énigmatiques, d'où le dialogue est presque banni, sauf dans les interventions d'un centaure, grand parleur devant l'Éternel. Cela compose un ensemble d'une grande richesse visuelle et d'un style résolument insolite où se poursuit d'une certaine façon une interrogation sur le sens du sacré. Le rythme est lent et même les séquences cruelles sont empreintes d'une sorte de majesté. Maria Callas, privée de sa voix de cantatrice, reste tout de même douée de présence et de talent dramatique.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Petite-fille du soleil selon la légende, Médée la magicienne est gardienne de la toison d'or en Colchide. Lorsque Jason arrive avec les Argonautes pour s'emparer de la toison, Médée s'éprend de lui et l'aide dans son dessein. Jason ramène Médée avec lui dans son pays et a d'elle deux garçons. Dix ans plus tard cependant, il la répudie pour épouser Glauce, fille du roi Créonte. Médée cause la mort de Glauce, tue ses propres enfants et met le feu au palais de Jason.

Année

1969

Genre

Drame poétique

Durée

110 min.

Origine

Italie

Information

Images

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