G.-B. 1962. Drame historique de David Lean avec Peter O'Toole, Alec Guinness, Anthony Quinn. Pendant la Première Guerre mondiale, un lieutenant britannique devient le commandant de troupes arabes au Moyen-Orient. Film à grand spectacle doté de valeurs psychologiques. Portrait nuancé du héros. Remarquables images du désert. Mise en scène ample et spectaculaire. Excellente distribution.
Pendant la Première Guerre mondiale, un lieutenant britannique devient le commandant de troupes arabes au Moyen-Orient. Film à grand spectacle doté de valeurs psychologiques. Portrait nuancé du héros. Remarquables images du désert. Mise en scène ample et spectaculaire. Excellente distribution.
Ce film est un spectacle de grande classe, à la fois épique et psychologique. À une photographie d'une rare précision qui rend le désert présent dans toute sa dureté et sa grandeur, s'allie une étude nuancée des attitudes contradictoires du héros. Peter O'Toole fait un début cinématographique impressionnant et est entouré d'une troupe d'interprètes remarquables.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Auteur inconnu - Newsweek
LAWRENCE OF ARABIA is an admirably serious film. (...) The size, the scope, the fantastic scale of [Lawrence's] personality and his achievement is triumphantly there. (...) For once, the machinery of the spectacular, Technicolor, Super-Panavision 70 production is harnessed to an appropiate subject. (...) The cast (...) is not only all-star, but, for a change, all-good.
Auteur inconnu - La Libre Belgique
Jamais encore le cinéma n'avait donné du désert des images aussi saisissantes. La photographie en couleur est d'une qualité exceptionnelle. La densité et la pureté de la lumière, ainsi que la gamme infiniment nuancée des coloris confondent. (Texte paru en 1963)
Claude Fachard - Le Pélerin
[Le film] égale, et surpasse même parfois, les plus grands westerns américains. (...) Et la virtuosité du cinéaste ajoute à notre émerveillement, qu'il s'agisse des séquences de combat (...) ou de l'évocation des phénomèmes optiques dus au rayonnement solaire et à la chaleur! L'interprétation [est] de tout premier ordre. (Texte paru en 1963)
Madeleine Garrigou-Lagrange - Témoignage Chrétien
Pour David Lean et Sam Spiegel, fastueux organisateurs d'un des spectacles les plus chers de l'histoire du cinéma, il s'agit moins de faire le portrait de Lawrence que de décrire et de créer une fascination: celle du désert (...). Peter O'Toole fait miroiter les aspects les plus lumineux et les plus malsains de ce personnage ambigu, mystérieux, fascinant. (Texte paru en 1963)
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Un film très impressionnant, au niveau de la mise en scène.
J'attribue à ce film la Cote