Ce film fait penser à une séance imaginée par des enfants avec, en plus, une note de vulgarité rarement atteinte dans ce genre de parodie. Tous les gags, si on peut ici employer ce mot, reposent sur la multiplication des anachronismes, depuis l'équipement de l'homme-grenouille jusqu'au cha cha cha dansé à la cour du roi Louis XIII, le tout assaisonné d'un dialogue minable et de pitreries lamentables. Les interprètes rivalisent de grimaces et de lourdeur.
Texte : Robert-Claude Bérubé