Négligée par ses enfants, une veuve subsiste de peine et de misère. Surcharge de poncifs. Dialogue envahissant. Réalisation terne. Interprétation gênée.
Les poncifs du mélodrame se trouvent ici au rendez-vous et même on en rajoute; la construction dramatique est remplacée par la succession des épreuves. Le scénariste, qui fut scripteur radiophonique, accorde manifestement plus d'importance à la parole qu'à l'image. La réalisation manque complètement d'imagination, et les interprètes semblent gênés par la caméra.