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Rashomon

G
1952
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Quatre témoins apportent des versions différentes d'un assaut meurtrier.
Scénario d'une grande richesse psychologique. Mise en scène superbement orchestrée. Très belles images. Interprétation forte.

L'avis de Mediafilm

Cette légende du Japon féodal pose le problème de la vérité dans les relations entre les hommes. Le scénario, remarquable par sa richesse psychologique, est superbement orchestré par une mise en scène inspirée des grandes oeuvres symphoniques. Tout ici est à signaler sur le plan cinématographique. L'interprétation atteint à la perfection.

Texte paru en 1961

Synopsis

Le cadavre d'un samouraï vient d'être découvert dans la forêt. Trois hommes discutent de l'événement sous le portique en ruine de Rashomon. Deux d'entre eux, un bonze et un bûcheron, viennent de témoigner au procès. Par des retours en arrière, on assiste au drame, selon les versions apportées par quatre témoins différents: le bandit, la femme de la victime, le mort qui parle par la bouche d'une sorcière et le bûcheron. Aucune des versions ne concorde avec les autres. Le bonze sent sa foi en l'homme ébranlée par cette série de mensonges. Il reprendra confiance en voyant, à la fin, le bûcheron adopter un enfant abandonné.

Année

1952

Genre

Drame

Durée

88 min.

Origine

Japon

Information

Classification

G

Genre

Drame

Année

1952

Durée

88 min.

Réalisation

Photographie

D'après le roman de

Pays

Japon

Distribution

Criterion

Récompenses

Venise, Lion d'Or du meilleur film, 1951