L'avis de Mediafilm

Les auteurs se sont ici lancés avec allégresse dans le mélodrame à l'espagnole: guitares, sérénades, vierge qu'on invoque, ennemi qu'on poignarde, etc. Malgré les efforts des artistes, l'action est languissante. L'histoire, racontée sur un ton larmoyant, n'est pourtant pas dépourvue d'un certain intérêt. C'est qu'une réelle poésie se dégage de ce théâtre lyrique où l'amour passionné et l'esprit de vengeance se partagent la vedette.

Texte paru en 1955-56