Un avare qui pressure les colonisateurs des Laurentides connaît une suite de déboires. Construction anecdotique. Touches d'humour populaire. Mise en scène assez aérée. Interprétation naturelle.
Cette deuxième tranche de l'histoire de l'avare du Nord marque un certain progrès sur la première du point de vue cinématographique. Les extérieurs sont nombreux et le découpage plus varié. La présentation de quelques aspects de la colonisation lui confère quelque intérêt. Les principaux interprètes sont à l'aise et la figuration assez vivante. L'ensemble manque cependant d'unité.