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Tant que je vivrai

1945 · As Long As I Live (ang)
100% est d'accord avec la cote
Alors qu'il est en route pour un sanatorium, un jeune peintre tuberculeux s'éprend d'une aventurière.
Intrigue laborieuse au sentimentalisme désuet. Réalisation acceptable. Dialogue parfois vif et plein d'esprit. Bonne interprétation d'E. Feuillère.

L'avis de Mediafilm

Le réalisateur tire son épingle du jeu et le dialogue s'agrémente ici et là de vivacité et d'esprit. Pourtant le film n'accroche pas, malgré des rebondissements assez laborieux. Il y a vingt ans, on se plaisait à cette sorte de sentimentalisme aujourd'hui inacceptable. Même si l'oeuvre est médiocre, l'interprétation d'Edwige Feuillère reste intéressante.

Texte paru en 1957

Synopsis

Un jeune peintre, atteint de tuberculose et dont la santé périclite en l'absence de la femme aimée, accepte de se rendre dans un sanatorium pour un séjour indéfini. Sur sa route, il rencontre une aventurière, cause avec elle une demi-heure, et c'est le coup de foudre... Tout enflammé, malade d'amour, il fait de mémoire, du fond de sa retraite, un portrait de la dame. Toutefois le hasard fait bien les choses. Une vieille personne bavarde, habitant le sana, rencontrera l'inspiratrice du tableau aux prises avec la police.

Année

1945

Genre

Drame sentimental

Durée

100 min.

Origine

France