Remarquable

King Kong

Name: King Kong
Director: Ernest B. Schoedsack, Merian C. Cooper
Genre: Drame fantastique
Duration: 96 min.

É.-U. 1933. Drame fantastique de Ernest B. Schoedsack, Merian C. Cooper avec Bruce Cabot, Fay Wray, Robert Armstrong. Des explorateurs s'emparent d'un gorille géant dans une île du Pacifique. Oeuvre capitale du cinéma fantastique. Mélange de romantisme et d'horreur. Illustration fascinante et souvent poétique. Trucages réussis. Interprétation dans le ton.

King Kong (King Kong)

Général

É.-U. 1933. Drame fantastique de Ernest B. Schoedsack, Merian C. Cooper avec Bruce Cabot, Fay Wray, Robert Armstrong.

Des explorateurs s'emparent d'un gorille géant dans une île du Pacifique. Oeuvre capitale du cinéma fantastique. Mélange de romantisme et d'horreur. Illustration fascinante et souvent poétique. Trucages réussis. Interprétation dans le ton.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1933

Durée :

96 min.

Réalisation :

Ernest B. Schoedsack
Merian C. Cooper

Scénario :

Merian C. Cooper
James Ashmore Creelman
Ruth Rose
Edgar Wallace

Photographie :

Edward Linden
J.O. Taylor
Vernon L. Walker

Musique :

Max Steiner

Montage :

Ted Cheesman

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Bruce Cabot
Fay Wray
Robert Armstrong
Frank Reicher
Sam Hardy
Noble Johnson
Steve Clemente
James Flavin

Une équipe de cinéma s'en va tourner un film sur une île inexplorée du Pacifique. Les indigènes s'emparent de la vedette féminine pour l'offrir à leur dieu qu'ils appellent Kong. Il s'agit d'un gorille gigantesque dont les cinéastes finissent par s'emparer et qu'ils ramènent avec eux aux États-Unis pour le montrer en spectacle. Mais à la première représentation, le monstre brise ses liens et sème la panique dans New York. Il est abattu par des avions alors qu'il a grimpé au sommet d'un gratte-ciel.

L’AVIS DE MEDIAFILM

KING KONG est considéré comme l'un des grands mythes du cinéma fantastique. L'intrigue du film apparaît pourtant puérile et l'action est lente à partir, mais, dès l'entrée en scène de Kong, le rythme se précise et une cascade de péripéties merveilleuses déferle sur l'écran. La mise en scène profite alors de trucages ingénieusement mis au point pour souligner le gigantisme du gorille sans nuire à la qualité des images. Un certain climat naïvement romantique baigne l'ensemble et rend le monstre plus attendrissant qu'horrifiant. Par ailleurs, l'interprétation n'est guère nuancée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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