Tron Ares
image promotion

Tron: Ares

G
2025
Une intelligence artificielle humanoïde recherche dans le monde réel un code convoité par son créateur, détenu par la rivale de ce dernier.
Troisième volet audacieux. Finale extravagante. Dialogues pompeux. Musique entêtante. Scènes d'action décoiffantes. Bonne interprétation dans l'ensemble.

L'avis de Mediafilm

Ce troisième volet de la franchise TRON ne manque pas d'ambition ni d'audace. La première incursion de cet univers virtuel très codé dans le monde réel génère plusieurs scènes de poursuites décoiffantes et visuellement ingénieuses, pulsées par la musique percussive de Trent Reznor et Atticus Ross (crédités ici sous le nom de leur groupe "Nine Inch Nails"). Par contre, les allers-retours entre les deux dimensions devient étourdissant, tandis que la finale prend des allures extravagantes de film de monstres à la GODZILLA, sous la direction tonitruante de Joachim Roenning (MALEFICENT: MISTRESS OF EVIL). Attendu, le message sur l'encadrement de l'intelligence artificielle et son potentiel bénéfique est asséné dans des dialogues parfois pompeux. Dans le rôle du vilain, Evan Peters (AMERICAN ANIMALS) force le trait, contrairement à Jared Leto (SUICIDE SQUAD), plus sobre qu'à son habitude en programme numérique conscient de sa finitude, une figure similaire à celle de MICKEY 17 de Bong Joon-ho. Le reste de la distribution adopte le ton requis, y compris Jeff Bridges dans la peau de Kevin Flynn, l'iconique personnage qu'il avait créé dans le premier TRON, en 1982.

Louis-Paul Rioux

Synopsis

(sortie en salle le 10 octobre 2025)

Année

2025

Genre

Science-fiction

Durée

119 min.

Origine

États-Unis

Images

tron-ares-01.jpgtron-ares-02.jpgtron-ares-03.jpgtron-ares-04.jpgtron-ares-05.jpgtron-ares-06.jpgtron-ares-07.jpgtron-ares-08.jpg