
Le Ventre de Bassima

2024
À Montréal, une Syrienne sans-papier accepte de devenir la mère porteuse d'un couple fortuné.
Beau sujet, développé de manière peu convaincante. Dialogues manquant parfois de naturel. Réalisation sobre et sensible. M. Denis émouvante et expressive.



Le Ventre de Bassima

2024
À Montréal, une Syrienne sans-papier accepte de devenir la mère porteuse d'un couple fortuné.
Beau sujet, développé de manière peu convaincante. Dialogues manquant parfois de naturel. Réalisation sobre et sensible. M. Denis émouvante et expressive.
L'avis de Mediafilm
Le réalisateur et producteur irano-canadien Babek Aliassa (BOUCHERIE HALAL) tenait là un beau sujet, riche en potentiel dramatique et en implications sociologiques, économiques, religieuses et culturelles. Hélas, son récit est développé de manière peu convaincante, à coups de retournements précipités, d'explications vaseuses et de dialogues manquant parfois de naturel. Aliassa conserve néanmoins deux atouts. D'abord, une mise en scène sobre, sensible, qui exploite bien le décor hivernal montréalais. Ensuite, l'interprétation émouvante et expressive de la jeune Maxine Denis (POLARIZED, MARRY FUCK KILL), dans le rôle de la courageuse et débrouillarde Bassima.
Synopsis

Année
2024Genre
DrameDurée
95 min.Origine
CanadaImages







