
Pharaon, le sauvage et la princesse, Le




Pharaon, le sauvage et la princesse, Le

L'avis de Mediafilm
Depuis le succès de KIRIKOU ET LA SORCIÈRE, Michel Ocelot, 78 ans, s’est forgé une signature reconnaissable entre toutes. Ses films – qui réunissent souvent plusieurs courts-métrages – combinent récits intemporels, élégance graphique et épure narrative. Après la parenthèse de DILILI À PARIS, qui semblait annoncer un renouveau prometteur, Ocelot retourne à sa formule habituelle, avec un bonheur inégal. Certes, la recherche formelle est toujours au rendez-vous, à travers des récits racontés dans trois styles différents. En effet, l’animation adopte tour à tour les profils des fresques égyptiennes antiques, la technique des ombres chinoises et la flexibilité de l’animation 3D. Mais les histoires et les personnages apparaissent souvent un peu trop lisses, prisonniers de stéréotypes vieillots, notamment dans la représentation des personnages féminins, essentiellement passifs. Si ces problèmes n’affectent pas la réussite esthétique de l’ensemble, ils en limitent toutefois la portée, et laissent l’impression d’une oeuvre plastiquement admirable mais à la vision quelque peu dépassée.

Synopsis

Année
2022Genre
Film d'animationDurée
83 min.Origine
FranceInformation
Classification

Genre
Film d'animation
Année
2022
Durée
83 min.
Réalisation
Scénario
Musique
Montage
Pays
France
Belgique
Distribution
Axia Films
Images











