image promotion

Nobody Has to Know

2020 ·
100% est d'accord avec la cote
En Écosse, un quinquagénaire amnésique est pris en charge par une agente immobilière qui lui avoue être son amoureuse.
Récit délicat et généreux. Réalisation pleine d'aisance, mettant en valeur le panorama insulaire. Compositions sobres et nuancées des deux interprètes.

L'avis de Mediafilm

Réalisateur des grands espaces et des routes à perte de vue (ELDORADO, LES GÉANTS, LES PREMIERS, LES DERNIERS), Bouli Lanners poursuit dans cette veine avec ce premier film en anglais, qu'il a tourné dans les magnifiques décors naturels de l'Écosse. Un écrin idéal pour ce récit délicat et généreux, qui ménage autant de surprises que d'humour et d'humanité. Devant la caméra, Lanners joue avec sobriété l'expatrié qui préserve son mystère jusqu'à la fin. À ses côtés, Michelle Fairley (PHILOMENA) se révèle nuancée et d'une fragilité émouvante. (Texte rédigé en septembre 2021, dans le cadre du Festival international du film de Toronto)

Louis-Paul Rioux

Synopsis

Quelques années auparavant, Phil a quitté la Belgique et s'est établi sur une île écossaise, dans une communauté presbytérienne où un vieux fermier lui a donné du travail. Terrassé par un accident vasculaire cérébral au cours d'une marche sur la plage, le quinquagénaire entre d'urgence à l'hôpital et en ressort amnésique. Il est alors pris en charge par Milly, la fille de son employeur. Cette agente immobilière entre deux âges peine à avouer à Phil qu'avant son attaque, lui et elle avaient entamé une relation amoureuse, à l'insu du reste de la communauté.

Année

2020

Genre

Drame sentimental

Durée

99 min.

Origine

Belgique

Information

Genre

Drame sentimental

Année

2020

Durée

99 min.

Réalisation

Scénario

Pays

Belgique

France

Grande-Bretagne

Images

nobody_has_to_know_still_01.jpgnobody_has_to_know_02.jpgnobody_has_to_know_03.jpgnobody_has_to_know_04.jpg