Sin La Habana
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Sin La Habana

G
2020
Un danseur de ballet cubain séduit une touriste québécoise dans l'espoir qu'elle facilite son départ du pays et celui de sa compagne avocate.
Prémisse développée avec réalisme et lucidité. Dénonciation du racisme et célébration du vaudou. Réalisation expressive, quoique parfois démonstrative. Bons interprètes.

L'avis de Mediafilm

Kaveh Nabatian (l'essai collectif LES SEPT DERNIÈRES PAROLES) développe sa prémisse de complot opportuniste avec réalisme et lucidité. Placé sous le signe de la célébration du vaudou et de la dénonciation du racisme, le récit bien construit avance à bon rythme. Entre chaleur dorée des Antilles et froide blancheur canadienne, chorégraphies stylisées et travail monotone en usine, la réalisation se fait expressive, quoique parfois un peu trop démonstrative. Bien choisis, les interprètes sont tous convaincants. En particulier Aki Yaghoubi, émouvante dans le rôle de la proie pas si innocente, prête à tout pour échapper à un milieu familial obtus et oppressant, dessiné avec subtilité par le réalisateur. (Texte rédigé en octobre 2020, dans le cadre du Festival du nouveau cinéma de Montréal)

Louis-Paul Rioux

Synopsis

(sortie en salle le 10 septembre 2021)

Année

2020

Genre

Drame

Durée

94 min.

Origine

Canada

Information

Classification

G

Genre

Drame

Année

2020

Durée

94 min.

Réalisation

Photographie

Images

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