Greed
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Greed

13
2019
À l'occasion de son 60e anniversaire, un milliardaire envahit une plage grecque peuplée de migrants, pendant que son biographe interviewe ses proches pour documenter son ascension.
Comédie bancale sur le capitalisme sauvage. Prémisse porteuse, mal développée. Réalisation soignée. Quelques apparitions-surprises amusantes. Finale mordante. Interprétation inégale.

L'avis de Mediafilm

GREED tente d'être deux films à la fois: une satire caricaturale d'un millionnaire grotesquement rapace et un constat moralisateur sur les ravages du capitalisme sauvage dans les pays en voie de développement. Malheureusement, la satire est plus lourde et moins drôle qu'espérée, tandis que le constat ressasse des évidences mieux dénoncées ailleurs. La réalisation de Michael Winterbottom (CODE 46, ROAD TO GUANTANAMO) est néanmoins soignée et élégante, nous offrant, en guise de compensation, une finale mordante et quelques apparitions-surprises plutôt amusantes. Celle de James Blunt constitue d'ailleurs l'un des meilleurs moments du film. Steve Coogan, complice de longue date du réalisateur (24 HOUR PARTY PEOPLE, TRISTRAM SHANDY, la série THE TRIP), domine sans effort une distribution prestigieuse, mais inégale.

Georges Privet

Synopsis

(sortie en salle le 6 mars 2020)

Année

2019

Genre

Comédie satirique

Durée

104 min.

Origine

Grande-Bretagne

Information

Classification

13

Genre

Comédie satirique

Année

2019

Durée

104 min.

Photographie

Pays

Grande-Bretagne

Distribution

Métropole Films Distribution

Images

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