Yomeddine
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Yomeddine

2018
À la mort de son épouse, un lépreux, qui a grandi dans un univers protégé, part sur les routes à la recherche de son père, flanqué d'un petit orphelin nubien.
Road-movie humaniste aux recettes connues. Réalisation vivante, d'une facture modeste. Traitement parfois appuyé. R. Gamal très attachant.

L'avis de Mediafilm

Les escales de ce road-movie sont certes prévisibles, les bons sentiments montent la garde et le traitement manque parfois de nuances. Au premier chef lors d'une scène de train inspirée du ELEPHANT MAN de David Lynch. En revanche, la rencontre attendue du héros avec d'autres éclopés victimes d'ostracisation dégage une indéniable chaleur humaine. De fait, le récit sincère et généreux comporte de beaux et poignants moments de vérité, Rady Gamal défendant avec verve et naturel un rôle inspiré de sa propre expérience. Malgré des moyens modestes, et un emploi un peu appuyé d'effets oniriques, A.B. Shawky signe une première mise en scène assurée et vivante, qui tire profit des paysages désertiques égyptiens et des décors urbains décrépits. (Texte rédigé en mai 2018, dans le cadre du Festival de Cannes - Compétition officielle)

Louis-Paul Rioux

Synopsis

Année

2018

Genre

Drame

Durée

97 min.

Origine

Égypte

Information

Genre

Drame

Année

2018

Durée

97 min.

Réalisation

Scénario

Photographie

Musique

Images

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