
Plaire, aimer et courir vite




Plaire, aimer et courir vite

L'avis de Mediafilm
S'il sait faire abstraction de quelques clichés stylistiques et dialogues prétentieux, le spectateur sera à même d'apprécier cette nouvelle exploration du sentiment amoureux et des plaisirs fugaces par le réalisateur de HOMME AU BAIN et LES CHANSONS D'AMOUR. Signalons par ailleurs que PLAIRE, AIMER ET COURIR VITE constitue la deuxième évocation contemporaine des années sida, un an après 120 BATTEMENTS PAR MINUTE de Robin Campillo. Passant avec fluidité de la désinvolture à la gravité, Christophe Honoré orchestre en deuxième partie des passages lyriques empreints de mélancolie, dans lesquels le jeu senti des interprètes est pleinement mis en valeur. Face au vulnérable Pierre Deladonchamps (L'INCONNU DU LAC, NOS ANNÉES FOLLES), Vincent Lacoste (HIPPOCRATE, SAINT-AMOUR, PREMIÈRE ANNÉE) n'a jamais joué de façon aussi décomplexée et expressive. (Texte rédigé en mai 2018, dans le cadre du Festival de Cannes - Compétition officielle)

Synopsis

(sortie en salle le 7 décembre 2018)
Année
2018Genre
Drame sentimentalDurée
132 min.Origine
FranceImages







