Outlaw King
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Outlaw King

2018
En 1304, à la mort de William Wallace, le noble Robert Bruce lève une armée afin de reprendre la lutte pour l'indépendance écossaise.
Fresque inégale, plus convaincante dans l'épique que l'intime. Réalisation à la fois spectaculaire et quasi documentaire. Rythme syncopé. Acteurs solides, bien dirigés.

L'avis de Mediafilm

Cette fresque imposante, qui s'inscrit dans la continuité de BRAVEHEART, s'avère moins convaincante que le drame oscarisé de Mel Gibson. La faute à un scénario inégal, plus convaincant dans l'épique que l'intime. Cette oeuvre spectaculaire, produite par Netflix, ne manque pourtant pas de qualités. Ainsi, la mise en scène vigoureuse et quasi documentaire de David Mackenzie (HELL OR HIGH WATER) confère à cette page d'histoire l'urgence d'un reportage contemporain. Par contre, un remontage maladroit - OUTLAW KING a été amputé d'une vingtaine de minutes après sa première décevante au festival de Toronto - crée des ellipses voyantes dans la continuité du récit. D'où un rythme syncopé, qui mine non seulement le film, mais aussi les efforts d'acteurs solides, au demeurant bien dirigés. Le résultat final incarne, de manière assez fascinante, la difficulté de produire des films épiques à l'ancienne, à une époque où la télévision assume à elle seule le fardeau de leur diffusion.

Georges Privet

Synopsis

Année

2018

Genre

Drame historique

Durée

121 min.

Origine

Grande-Bretagne

Information

Genre

Drame historique

Année

2018

Durée

121 min.

Réalisation

Photographie

Pays

Grande-Bretagne

Distribution

Netflix

Images

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