Dpj
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DPJ

2017
Incursion dans un centre de la Direction de la protection de la jeunesse de Montréal, où des travailleurs sociaux veillent sur des enfants soustraits à la garde de leurs parents.
Illustration éloquente du quotidien de fonctionnaires dévoués. Passages déchirants. Intervenants fort attachants. Réalisation en mode cinéma direct. Quelques lacunes techniques.

L'avis de Mediafilm

L'approche documentaire de Guillaume Sylvestre s'inscrit dans la tradition du cinéma direct. Le réalisateur infiltre un milieu jusqu'à rendre son dispositif invisible, puis capte des situations sur le vif, que ce soit dans une école secondaire (SECONDAIRE V) ou des communautés autochtones (SAUVAGE). Ce parti pris lui rend cependant la tâche plus difficile lorsqu'il s'agit de tourner dans un centre de la DPJ, puisque les enfants de moins de dix-huit ans et leurs parents ne peuvent être identifiés à l'écran. Sylvestre choisit alors de flouter de nombreux plans, avec un résultat hélas pas toujours efficace. Nonobstant ces lacunes techniques, le film réussit à illustrer avec éloquence le quotidien de fonctionnaires déterminés, dévoués - et dans certains cas fort attachants -, confrontés à des drames humains déchirants.

André Caron

Synopsis

Année

2017

Genre

Documentaire

Durée

116 min.

Origine

Canada

Information

Genre

Documentaire

Année

2017

Durée

116 min.

Pays

Canada

Québec

Distribution

Les Productions Lustitia

Images

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