
Blonde atomique (Atomic Blonde)




Blonde atomique (Atomic Blonde)

L'avis de Mediafilm
L'enjeu de l'intrigue, emprunté à John Le Carré, est un prétexte. Inspiré d'une bédé d'Antony Johnston et Sam Hart, ce DARK CITY au féminin joue sur d'autres tableaux. De fait, le premier long métrage en solo du maître cascadeur David Leitch (JOHN WICK) est une cascade, justement, de poursuites effrénées et de combats à bras-le-corps, intercalées de dialogues pince-sans-rire et d'images de défilé de mode éclairés au néon, sur fond de chansons pop-rock de l'époque. L'ensemble survitaminé, elliptique et léger (au plan de la pensée), déboule sur les sens du spectateur à la manière d'une hallucination virale. Stylisée et résolument vieille-école, la réalisation comporte en outre quelques morceaux de bravoure, dont une scène de combat dans des escaliers, tournée caméra à l'épaule, sans marques apparentes de montage. Top-modèle et fière-à-bras, souvent les deux en même temps, Charlize Theron est formidable de présence et d'abattage dans ce feu d'artifices à sa gloire et à sa beauté. À la frontière du cabotinage, James McAvoy est lui aussi parfait.

Synopsis

(sortie en salle le 28 juillet 2017)
Année
2017Genre
Drame d'espionnageDurée
115 min.Origine
États-UnisInformation
Classification

Genre
Drame d'espionnage
Année
2017
Durée
115 min.
Réalisation
Scénario
Photographie
Musique
Montage
D'après l'œuvre de
Pays
États-Unis
Allemagne
Distribution
Universal
Images













