Reparer Les Vivants
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Réparer les vivants

G
2016
Tandis qu'au Havre, un adolescent repose en état de mort cérébrale, à Paris, une musicienne atteinte d'une maladie dégénérative attend un nouveau coeur.
Adaptation prenante du roman de Maylis de Kerangal. Prologue saisissant. Mariage unique entre intime et épique. Mise en scène sensible et précise. Interprètes d'une grande justesse.

L'avis de Mediafilm

Dans cette adaptation du roman de Maylis de Kerangal, Katell Quillévéré marie encore à sa façon unique l'intime et l'épique, en conférant à cette union un ton aussi touchant que naturel. Comme dans SUZANNE, des ellipses rapides et tendues impriment au récit un rythme prenant. La mise en scène profite de majestueuses profondeurs de champs, très évocatrices, ainsi que de cadrages de corps et de visages d'une grande sensibilité, en particulier dans le saisissant prologue. Construit en trois parties, le film perd peut-être un peu d'intensité dans le segment central, tandis que la musique se fait parfois insistante. Cependant, Quillévéré parvient à maintenir un équilibre entre l'aspect quotidien, presque banal, du travail des médecins et les bouleversements tragiques et extraordinaires des patients. Au sein d'une imposante distribution, d'une grande justesse, se distinguent Bouli Lanners, Anne Dorval et Dominique Blanc. (Texte rédigé en septembre 2016, dans le cadre du Festival de Venise)

Helen Faradji

Synopsis

(sortie en salle le 10 mars 2017)

Année

2016

Genre

Drame

Durée

103 min.

Origine

France

Images

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