Colossal
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Colossal

G
2016
Une journaliste au chômage fêtarde découvre qu'elle contrôle à distance un monstre géant en train de ravager la ville de Séoul.
Fable inventive sur la résilience. Mélange des genres réussis. Quelques détours narratifs moins convaincants. Réalisation intimiste. A. Hathaway pleine d'aplomb. J. Sudeikis étonnant.

L'avis de Mediafilm

Mélange improbable de "Kaiju" (film de monstres japonais à la Godzilla) et de comédie "indie" américaine, COLOSSAL étonne par les voies qu'il emprunte pour explorer les thèmes de la jalousie, la faible estime de soi et la résilience. Son approche intimiste fait mouche, particulièrement lorsque la réalisation ingénieuse de Nacho Vigalondo (TIMECRIMES) s'amuse à suggérer des actes de destructions massives au moyen d'un simple carré de sable. Certes, quelques détours narratifs apparaissent moins convaincants, mais un changement de ton bien négocié, qui survient à mi-parcours, déstabilise agréablement le spectateur. Dans une composition qui rappelle celle de RACHEL GETTING MARRIED, Anne Hathaway fait preuve d'un bel aplomb. Pour sa part, Jason Sudeikis (HORRIBLE BOSSES, RACE) surprend dans la peau d'un personnage extrêmement ambigu.

Bruno Dufort

Synopsis

(sortie en salle le 21 avril 2017)

Année

2016

Genre

Drame fantastique

Durée

109 min.

Origine

Espagne

Images

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