Jem Et Les Hologrammes
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Jem et les hologrammes (Jem and the Holograms)

G
2015 · Jem and the Holograms (ang)
Catapultée au rang de superstar grâce à un clip viral, une chanteuse sans expérience traverse une crise d'identité.
Adaptation dégoulinante de bons sentiments d'un dessin animé des années 1980. Esthétique hideuse. Réalisation disparate. Interprétation médiocre.

L'avis de Mediafilm

Hideuse et dégoulinante de bons sentiments, cette adaptation aux couleurs acidulées d'un insignifiant dessin animé des années 1980 assemble complaisamment clips de YouTube et trajets sur Google Map à l'interface d'autres médias sociaux. Croyant à tort pouvoir relever le récit insipide et prévisible sur les valeurs familiales et les périls de la célébrité, le tâcheron Jon M. Chu (G.I. JOE: RETALIATION, JUSTIN BIEBER'S BELIEVE) enchaîne d'interminables numéros de pop indigeste. Pour alourdir le bilan, l'ensemble se distingue par l'incroyable manque de goût des stylistes, qui empruntent sans discernement à David Bowie époque Zyggy, à KISS et à Lady Gaga. Malgré les contributions de la piquante Juliette Lewis (Erica Raymond) et de la rassurante Molly Ringwald (tante Bailey), l'interprétation d'ensemble se révèle médiocre.

Manon Dumais

Synopsis

(sortie en salle le 23 octobre 2015)

Année

2015

Genre

Drame musical

Durée

118 min.

Origine

États-Unis

Information

Classification

G

Genre

Drame musical

Année

2015

Durée

118 min.

Réalisation

Scénario

Photographie

Images

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