Keep the Lights on
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Keep the Lights On

2012
Sur huit années à New York, la vie de couple tumultueuse d'un documentariste danois et d'un avocat toxicomane.
Chronique autobiographique courageuse et honnête. Construction elliptique. Réalisation vibrante. Composition généreuse de T. Lindhardt.

L'avis de Mediafilm

Cette chronique autobiographique courageuse et honnête par le réalisateur de MARRIED LIFE raconte avec nuance le sevrage amoureux d'un cinéaste dilettante généreusement défendu par Thure Lindhardt (FLAMME et CITRON). Contrairement aux films habituels sur l'amour impossible, celui-ci illustre tout autant les joies que les chagrins liés à cette expérience, sans manichéisme ni réponses toutes faites. Ira Sachs tente d'identifier les fils invisibles qui enchaînent les amants, les promesses qui se changent en camisoles de force, à travers un récit généralement très focalisé, parfois nébuleux. La construction elliptique du récit, ainsi que la réalisation vibrante, aux compositions étudiées rappelant les dessins et eaux fortes montrées dans le très beau générique d'ouverture, confèrent au film un beau climat d'intimité et d'authenticité. La magnifique musique d'Arthur Russell, ancien complice de Philip Glass et David Byrne, mort du sida en 1992, module très bien cette tapisserie véritable d'émotions.

Martin Bilodeau

Synopsis

(sortie en salle le 7 décembre 2012)

Année

2012

Genre

Drame sentimental

Durée

101 min.

Origine

États-Unis

Information

Genre

Drame sentimental

Année

2012

Durée

101 min.

Réalisation

Photographie

Images

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