Inch Allah
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Inch'Allah

G
2012
Obstétricienne dans une clinique palestinienne, une jeune Québécoise se lie d'amitié avec une de ses patientes, ainsi qu'avec une soldate israélienne qui habite son immeuble.
Évocation à échelle humaine et d'un point de vue étranger du conflit israélo-palestinien. Récit sincère mais parfois maladroit et didactique. Réalisation vivante et souple. Jeu senti d'É. Brochu dans un rôle insuffisamment défini.

L'avis de Mediafilm

S'inspirant de ses séjours au Moyen-Orient, Anaïs Barbeau-Lavalette (LE RING) fait une fois de plus preuve de sincérité et d'aplomb dans son deuxième long métrage de fiction, évocation à échelle humaine du conflit israélo-palestinien. Comme INCENDIES, REBELLES et SHAKE HANDS WITH THE DEVIL avant lui, INCH'ALLAH a le grand mérite d'ouvrir le cinéma québécois sur le monde, favorisant une salutaire rencontre avec l'Autre. Dans le cas présent cependant, le triangle amical féminin au coeur du récit apparaît un peu plaqué, son jupon didactique dépassant trop. De sorte que son inévitable éclatement lors du dénouement ne pourra atteindre la force dramatique souhaitée. Soutenue par une caméra à l'épaule nerveuse, la réalisation souple et vivante fait en partie oublier quelques dialogues peu subtils, ainsi que la prise de position politique sans équivoque de l'auteure, qui ne sera pas du goût de tous. Évelyne Brochu (CAFÉ DE FLORE) défend avec conviction un personnage qui aurait toutefois gagné à être mieux défini.

Louis-Paul Rioux

Synopsis

(sortie en salle le 28 septembre 2012)

Année

2012

Genre

Drame

Durée

101 min.

Origine

Canada

Images

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