Corno
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Corno

G
2012
À New York, où elle est établie depuis vingt ans, la peintre de Chicoutimi Johanne Corneau prépare une exposition qui aura lieu sous peu dans son atelier de Soho.
Portrait honnête d'une artiste à succès qui ne fait pas l'unanimité. Manque de force dramatique et de profondeur. Réalisation attentive, souvent stylisée. Témoignages éclairants.

L'avis de Mediafilm

Avec quelques touches stylisées de son cru, le réalisateur de MARÉCAGES brosse un portrait honnête de Corno, exemple inspirant de réussite professionnelle accomplie au mépris de l'intelligentsia de l'art contemporain. Mais le film manque de force dramatique, piétine malgré sa brièveté (78 minutes) et demeure trop en surface. Ainsi, Guy Édoin peine à illustrer le processus créatif de l'artiste, laquelle se contente pour l'essentiel de retoucher des tableaux presque terminés. En revanche, l'artiste, mise en confiance par son propre portraitiste, laisse apparaître devant sa lentille son vrai visage, soit celui d'une femme forte, impétueuse et passionnée, mais également fragile et souffrant de la solitude. Les témoignages des divers intervenants, tous éclairants, confirment ses dires.

Louis-Paul Rioux

Synopsis

Année

2012

Genre

Documentaire

Durée

78 min.

Origine

Canada

Information

Classification

G

Genre

Documentaire

Année

2012

Durée

78 min.

Réalisation

Photographie

Musique

Pays

Canada

Québec

Distribution

Aetios Distribution

Images

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