Au Nom Du Fils
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Au nom du fils

13
2012
Son fils adolescent s'étant suicidé après avoir avoué qu'il était amoureux d'un prêtre, une veuve croyante part en croisade contre les curés pédophiles.
Conte décapant sur les abus de l'Église. Humour décalé. Dialogues spirituels. Réalisation sobre. Amusants clins d'oeil au cinéma de genre. Interprétation fervente d'A. Whettnall.

L'avis de Mediafilm

Le Belge Vincent Lannoo (STRASS) dénonce les abus de l'Église et met en lumière les limites de la foi par le biais d'un humour décalé et de répliques très spirituelles. Inspirées de certains discours religieux, ces piques donnent du poids au propos sardonique de Lannoo et de ses coscénaristes, dont le Québécois Philippe Falardeau (MONSIEUR LAZHAR). Ceux-ci ridiculisent avec un bonheur contagieux certains dogmes et thèses soutenus par les chrétiens conservateurs, comme celui du créationnisme, à travers un conte décapant ponctué d'amusants clins d'oeil au cinéma de genre. Par sa réalisation sobre, Lannoo met en lumière un monde de foi figé, à la fois intemporel et universel. La composition fervente d'Astrid Whettnall en guerrière angélique relève en outre un ensemble franchement inspiré, à défaut d'être révolutionnaire.

Manon Dumais

Synopsis

Année

2012

Genre

Comédie satirique

Durée

80 min.

Origine

Belgique

Images

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