Case Depart
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Case départ

G
2011
Deux frères d'origine antillaise se retrouvent magiquement catapultés en 1780 et vendus comme esclaves au propriétaire d'une plantation.
Proposition originale traitée sans invention. Humour acide tombant à plat. Réalisation molle. Manque de complicité entre les deux vedettes, malgré leur abattage.

L'avis de Mediafilm

Faire une comédie sur l'esclavage pour mieux évoquer la situation des Noirs aujourd'hui en France: le postulat ne manquait pas d'originalité. Malheureusement, les coréalisateurs Lionel Steketee, Thomas Ngijol et Fabrice Éboué confondent acidité et sinistrose. Leur film veut faire grincer des dents en abordant de front les questions délicates du racisme, de l'intégration et de l'immigration mais frappe surtout par la vacuité de son scénario et la mollesse de sa réalisation, dénuée d'imagination. Extrêmement écrit, le film souffre en outre d'un réel manque de spontanéité et tente de compenser, par une musique lourde et des dialogues souvent grossiers, son déficit flagrant d'énergie. Tournant souvent à vide malgré quelques scènes assez drôles, CASE DÉPART capitalise beaucoup sur la présence des deux humoristes Fabrice Éboué et Thomas Ngijol, dont l'abattage ne peut faire oublier leur manque de chimie et de complicité à l'écran.

Helen Faradji

Synopsis

(sortie en salle le 27 avril 2012)

Année

2011

Genre

Comédie fantaisiste

Durée

94 min.

Origine

France

Information

Classification

G

Genre

Comédie fantaisiste

Année

2011

Durée

94 min.

Photographie

Pays

France

Distribution

K-Films Amérique

Images

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