Cambriolage Dans La Tour
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Cambriolage dans la tour (Tower Heist)

G
2011 · Tower Heist (ang)
L'ex-gérant d'un gratte-ciel new-yorkais organise avec ses collègues le cambriolage du penthouse d'un client investisseur, qui a dilapidé leurs fonds de pension dans une fraude.
Juteuse prémisse, d'une actualité criante, gâchée par un traitement brouillon et sans mordant. Récit bavard et arrangé avec le gars des vues. Réalisation vigoureuse mais routinière. Interprètes peu nuancés.

L'avis de Mediafilm

Brett Ratner (la série RUSH HOUR, RED DRAGON) gâche une juteuse prémisse, en phase avec l'actualité économique récente - l'affaire Madoff, les indignés de Wall Street -, pour accoucher d'un film de cambriolage brouillon, bavard, adossé à une critique sociale sans mordant. Accessoires, les préparatifs de l'opération servent surtout à générer des gags, la plupart dénués de punch. Du coup, l'exécution du vol semble totalement improvisée, les participants misant essentiellement sur l'imbécillité et l'incompétence du personnel de la tour pour parvenir à leurs fins. Tout cela pour culminer sur une séquence qui se veut vertigineuse et spectaculaire, mais qui s'avère en dernière analyse d'une invraisemblance grotesque. Conçu initialement par Eddie Murphy comme une version noire d'OCEAN'S ELEVEN, TOWER HEIST a au fil du temps pris une tout autre tangente. Ce qui explique que l'acteur, demeuré producteur, n'y tient qu'un rôle secondaire, farci de ses pitreries habituelles. Dans le reste de la distribution, très peu nuancée, seuls Michael Pena et Téa Leoni réussissent à vraiment faire rire.

Louis-Paul Rioux

Synopsis

(sortie en salle le 4 novembre 2011)

Année

2011

Genre

Comédie policière

Durée

105 min.

Origine

États-Unis

Information

Classification

G

Genre

Comédie policière

Année

2011

Durée

105 min.

Réalisation

Photographie

Images

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