
Cambriolage dans la tour (Tower Heist)




Cambriolage dans la tour (Tower Heist)

L'avis de Mediafilm
Brett Ratner (la série RUSH HOUR, RED DRAGON) gâche une juteuse prémisse, en phase avec l'actualité économique récente - l'affaire Madoff, les indignés de Wall Street -, pour accoucher d'un film de cambriolage brouillon, bavard, adossé à une critique sociale sans mordant. Accessoires, les préparatifs de l'opération servent surtout à générer des gags, la plupart dénués de punch. Du coup, l'exécution du vol semble totalement improvisée, les participants misant essentiellement sur l'imbécillité et l'incompétence du personnel de la tour pour parvenir à leurs fins. Tout cela pour culminer sur une séquence qui se veut vertigineuse et spectaculaire, mais qui s'avère en dernière analyse d'une invraisemblance grotesque. Conçu initialement par Eddie Murphy comme une version noire d'OCEAN'S ELEVEN, TOWER HEIST a au fil du temps pris une tout autre tangente. Ce qui explique que l'acteur, demeuré producteur, n'y tient qu'un rôle secondaire, farci de ses pitreries habituelles. Dans le reste de la distribution, très peu nuancée, seuls Michael Pena et Téa Leoni réussissent à vraiment faire rire.

Synopsis

(sortie en salle le 4 novembre 2011)
Année
2011Genre
Comédie policièreDurée
105 min.Origine
États-UnisInformation
Classification

Genre
Comédie policière
Année
2011
Durée
105 min.
Réalisation
Photographie
Montage
Pays
États-Unis
Distribution
Universal
Images





