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Apollo 18

13
2011 ·
100% est d'accord avec la cote
Des extraits de films tournés par les astronautes d'Apollo 18, une mission gardée secrète, permettent de comprendre pourquoi les Américains ne sont jamais retournés sur la Lune.
Faux documentaire aux éléments horrifiques empruntés. Climat de paranoïa laborieusement forgé. Réalisation élaborée. Interprétation dans la note.

L'avis de Mediafilm

Produit par l'iconoclaste Timur Bekmambetov (NIGHT WATCH, DAY WATCH, WANTED), ce BLAIR WITCH PROJECT mâtiné d'ALIEN et de PARANORMAL ACTIVITY met beaucoup d'efforts pour créer un climat de réalisme, de paranoïa et de terreur. En vain. Malgré les indéniables compétences techniques du réalisateur espagnol Gonzalo Lopez-Gallego (dont l'oeuvre est inédite au Québec), ce voyage dans la Lune tourne court. D'une part parce que le procédé du faux documentaire n'intrigue plus personne, le spectateur passant son temps à se désoler devant l'implausibilité d'une ou l'autre prise de vues, surtout celles supposément tournées dans le feu de l'action; d'autre part parce que les péripéties ne dénotent aucune réelle originalité et suscitent peu d'angoisse. Dommage, car les interprètes, peu connus, jouent dans le ton hyperréaliste qui convient.

Martin Bilodeau

Synopsis

Des extraits de films tournés par les astronautes d'Apollo 18 - dont la mission avait été gardée secrète par le gouvernement -, permettent aujourd'hui de comprendre pourquoi les Américains ne sont jamais retournés sur la Lune. Il appert que cette opération, organisée non pas par la NASA mais par le ministère de la Défense, dans le but d'assurer l'installation d'appareils de surveillance sur le satellite terrestre, a rapidement tourné à la catastrophe. Ainsi, après avoir trouvé près de leur propre module lunaire celui d'une équipe soviétique, les cosmonautes ont découvert le cadavre d'un des occupants dans un cratère. Puis ils ont réalisé avec terreur que certaines roches prélevées sur la Lune se transformaient en organismes vivants, capables de s'insinuer dans leur combinaison spatiale et de les contaminer. (sortie en salle le 2 septembre 2011)

Année

2011

Genre

Science-fiction

Durée

86 min.

Origine

États-Unis
Apollo18.jpg

Bande-annonce (EN)

Information

Classification

13

Genre

Science-fiction

Année

2011

Durée

86 min.

Scénario

Pays

États-Unis

Distribution

Alliance Vivafilm

Images

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