
I Can Do Bad All By Myself



I Can Do Bad All By Myself
L'avis de Mediafilm
Reprenant la plupart des éléments qui ont fait le succès - populaire - de ses précédents opus tels DADDY'S LITTLE GIRLS et THE FAMILY THAT PREYS, pour n'en nommer que deux, le prolifique dramaturge et réalisateur américain Tyler Perry signe avec I CAN DO BAD ALL BY MYSELF un film ultra prévisible baignant dans un sentimentalisme primaire. En tablant sur le thème de la femme perdue qui rentre dans le droit chemin en recouvrant sa foi, Perry dispense une fois encore une bonne dose d'enseignements religieux entre un rire et deux larmes. Sa réalisation modeste, frontale comme celle des comédies de situations, ne rehausse guère le niveau d'intérêt, et l'aspect carton-pâte de certains extérieurs n'aide en rien. Qui plus est, l'inclusion du personnage fétiche de l'auteur, Madea, semble plaquée quand elle ne s'avère pas carrément intrusive. Dans la peau de personnages unidimensionnels, Taraji P. Henson (THE CURIOUS CASE OF BENJAMIN BUTTON) et Adam Rodriguez (de la série CSI MIAMI) offrent un jeu sincère.

Synopsis

(sortie en salle le 11 septembre 2009)
Année
2009Genre
Comédie dramatiqueDurée
113 min.Origine
États-Unis