Speed Racer
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Speed Racer

G
2008
Un jeune coureur automobile intègre s'attire les foudres d'un milliardaire corrompu après avoir refusé de joindre sa prestigieuse écurie.
Divertissement survitaminé inspiré d'un dessin animé japonais. Scénario mince prétexte à un prodigieux déploiement d'images bariolées et d'action pétaradante. Réalisation inventive. Interprétation dans la note.

L'avis de Mediafilm

SPEED RACER, qui marque le retour des frères Wachowski quatre ans après la fin de la trilogie MATRIX, est un périlleux et stimulant saut de trampoline, dans lequel la forme occupe tout l'espace, le fond, que la base. Ainsi, au-delà du combat du Bien et du Mal et des quelques messages d'intérêt public sur le dopage et la corruption dans le monde du sport, le scénario est prétexte à un bouquet d'images bariolées et de scènes d'action pétaradantes, survitaminées et assaisonnées d'humour. La source originelle du film, un «anime» de Tatsuo Yoshida, est on ne peut plus inspirante et perceptible à l'écran. Mais la plastique inventive du film renvoie également à tout un éventail d'icones rétro de la pop-culture occidentale, allant des «Pierrafeu» à l'Irma Vep de Louis Feuillade en passant par «Papa a raison». Résultat: un cartoon baroque numérisé hachuré de longues traînées au néon. La distribution impeccable se prête au jeu avec un enthousiasme contagieux.

Martin Bilodeau

Synopsis

(sortie en salle le 9 mai 2008)

Année

2008

Genre

Drame sportif

Durée

135 min.

Origine

États-Unis

Information

Classification

G

Genre

Drame sportif

Année

2008

Durée

135 min.

Pays

États-Unis

Distribution

Warner Bros.