Asterix Aux Jeux Olympiques
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Astérix aux Jeux Olympiques

G
2007 · Astérix at the Olympic Games (ang)
Des Gaulois hostiles à César participent aux Jeux Olympiques afin de prouver à ce dernier leur supériorité sur les Romains.
Comédie incohérente et poussive. Graves problèmes de continuité. Réalisation confuse. G. Depardieu plutôt en forme.

L'avis de Mediafilm

Pourvus du plus gros budget de l'histoire du cinéma français, Frédéric Forestier et Thomas Langmann ont cédé à toutes les facilités et réalisé à partir d'une bande dessinée de René Goscinny et Albert Uderzo une comédie incohérente et poussive. De fait, on s'explique mal l'ineptie du scénario qui, malgré quelques anachronismes plaisants (le dopage dans le sport, par exemple), présente de graves problèmes de continuité, stagnant ici, déboulant là, sans flux régulier. De toute évidence, la réalisation à deux têtes a amplifié le problème. Également coscénariste et coproducteur, Langmann semble avoir imposé sur le plateau une volonté incompatible avec celle de Forestier, architecte visuel du film, et finalement le seul, dans cette débâcle, à mériter quelque compliment. La facture est en effet assez stimulante, très proche de l'esprit de la bande dessinée. Le Québécois Stéphane Rousseau, sur qui repose le premier acte du film, s'efface rapidement devant Gérard Depardieu, plutôt en forme dans les braies d'Obélix.

Martin Bilodeau

Synopsis

(sortie en salle le 8 juillet 2008)

Année

2007

Genre

Comédie fantaisiste

Durée

116 min.

Origine

France