Sans Elle
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Sans elle

G
2006
À son retour de Florence, une jeune violoniste atteinte du syndrome de Stendhal entreprend des recherches pour retrouver sa mère disparue.
Récit insolite aux développements laborieux. Effets symboliques répétitifs et appuyés. Photographie soignée. Interprétation sincère.

L'avis de Mediafilm

Après l'échec de l'ambitieuse et onéreuse saga NOUVELLE-FRANCE, SANS ELLE marque pour Jean Beaudin un retour à un cinéma modeste et intimiste. Dans des lieux d'une grande beauté (Florence, les Iles-de-la-Madeleine), le cinéaste décrit la quête obstinée d'une jeune femme fragile dont le désordre intérieur est représenté par l'eau. Or, ce symbole, marquant diverses ruptures avec le réel, agace tant il est employé avec insistance, alors que les effets visuels sur le thème aquatique alourdissent inutilement ce récit au climat insolite. Explorant divers troubles psychologiques (dont le syndrome de Stendhal) dans une forme évoquant celle du thriller policier, le film s'enlise dans les explications laborieuses et des revirements capricieux. Dans son rôle de fille abandonnée et à fleur de peau, Karine Vanasse manque parfois d'assurance. En revanche, Michel Dumont est stupéfiant en vieille crapule.

André Lavoie

Synopsis

(sortie en salle le 22 septembre 2006)

Année

2006

Genre

Drame psychologique

Durée

102 min.

Origine

Canada

Information

Classification

G

Genre

Drame psychologique

Année

2006

Durée

102 min.

Réalisation

Pays

Canada

Québec

Distribution

Christal Films