Babel
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Babel

13
2006
La réaction en chaîne provoquée par un coup de feu bouleverse les destins de différentes personnes aux quatre coins du monde.
Démonstration captivante de l'intimité insoupçonnée de la famille humaine. Narration astucieuse en forme de puzzle spatio-temporel. Réalisation virtuose. Interprétation de haut calibre.

L'avis de Mediafilm

Dernier volet d'une trilogie conçue par le Mexicain Alejandro Gonzalez Inarritu et son scénariste Guillermo Arriaga (après AMORES PERROS et 21 GRAMS), BABEL est sans doute le film le plus ambitieux du lot. Sur le plan géographique à tout le moins, puisque l'action, sur trois continents, implique une demi-douzaine de personnages-clés dont le scénario astucieux montre l'intimité insoupçonnée à travers le parcours d'une arme à feu. Celle-ci est à la fois le catalyseur et le fil d'Ariane de cette chronique en forme de puzzle spatio-temporel qui, à travers le prisme du langage (cf. le titre), parle des fossés et des malentendus qui divisent la grande famille humaine. La métaphore manque parfois de subtilité et quelques situations peuvent sembler forcées, mais la mise en scène vertigineuse compense largement ces imperfections. Tout comme les personnages, dessinés avec précision et économie, et admirablement campés, notamment par Rinko Kikuchi et Adriana Barraza.

Martin Bilodeau

Synopsis

(sortie en salle le 7 novembre 2006)

Année

2006

Genre

Drame

Durée

142 min.

Origine

États-Unis

Images

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