L'Agent Cody Banks 2: Destination Londres (Agent Cody Banks 2: Destination London)
L'Agent Cody Banks 2: Destination Londres (Agent Cody Banks 2: Destination London)
L'avis de Mediafilm
Les suites ne se font pas attendre par les temps qui courent, ce deuxième épisode des aventures de l'agent Cody Banks arrivant en salles à peine un an après la sortie du premier opus. Comme dans le cas de la série des SPY KIDS, le récit se détériore d'un film à l'autre, si bien que l'intrigue sans surprise de ce second volet se révèle des plus alimentaires et des plus artificielles. L'action se déroule en bonne partie à Londres, mais on a droit ici à une visite de carte postale qui collectionne tous les lieux communs propres à la capitale britannique. Contrairement au premier film, la dérision et l'ironie ne sont pas vraiment au rendez-vous pour se moquer des conventions du genre, ce qui donne à l'entreprise une impression de déjà-vu, malgré un certain élan dans la réalisation et quelques passages assez amusants. Les auteurs versent rapidement dans la grosse caricature et les clichés, surtout lorsqu'ils se moquent des travers de la haute société anglaise, une cible des plus faciles qui a été l'objet de nombreuses parodies récentes. Heureusement, les interprètes font montre d'une belle candeur.
Synopsis
Alors que l'adolescent Cody Banks poursuit son entraînement au camp d'été destiné à l'élite junior de la CIA, son instructeur Diaz s'enfuit à Londres avec un circuit intégré permettant de contrôler les pensées et la volonté des êtres humains. Le jeune espion est aussitôt envoyé en Angleterre pour retrouver Diaz qui cherche à vendre le microprocesseur ultrasecret à un certain Lord Kenworth, dont la femme dirige un orchestre de jeunes virtuoses internationaux. Se faisant passer pour un clarinettiste réputé, Cody entre en contact avec Emily, une musicienne qui travaille en fait pour les services secrets britanniques. Par ailleurs, l'adolescent est assisté dans sa mission par Derek, un espion plutôt gaffeur qui fait tout pour rentrer dans les bonnes grâces du directeur de la CIA.
Année
2004Genre
Comédie d'espionnageDurée
100 min.Origine
États-UnisInformation
Classification
Genre
Comédie d'espionnage
Année
2004
Durée
100 min.
Réalisation
Pays
États-Unis
Distribution
MGM