
Coyote Ugly




Coyote Ugly

L'avis de Mediafilm
Le producteur Jerry Bruckheimer, bien connu pour la rutilance et l'insipidité des longs métrages qu'il pilote, récidive avec COYOTE UGLY, un film concept qui, en croisant FLASDANCE et FAME avec COCKTAIL, relève définitivement plus de la stratégie de marketing que de l'art du cinéma. D'ailleurs, on ne s'y trompe pas en voyant l'esthétique très léchée et très pub de la cinématographie. La mise en scène est tout aussi tape-à-l'oeil et artificielle, le réalisateur tournant sans grande émotion les quelques moments d'intimité entre personnages pour mettre toute son énergie au service des scènes de bar. Ces dernières possèdent l'allure de numéros de cabaret survoltés et représentent le seul véritable intérêt de cette production. Parce qu'il ne faut pas chercher du côté du scénario... Empruntant plusieurs de ses grandes lignes à Cendrillon, le récit s'avère d'une mièvrerie insupportable et s'appuie sur des protagonistes schématisés à l'extrême. Mis à part John Goodman, égal à lui-même, tous les interprètes semblent avoir été choisis uniquement en fonction de leur sex-appeal.

Synopsis

Année
2000Genre
Comédie dramatiqueDurée
101 min.Origine
États-UnisInformation
Classification

Genre
Comédie dramatique
Année
2000
Durée
101 min.
Réalisation
Scénario
Photographie
Musique
Pays
États-Unis
Distribution
Buena Vista
Images







