
Le Huitième Jour




Le Huitième Jour

L'avis de Mediafilm
Délaissant la complexité de TOTO LE HÉROS, son premier film, Jaco Van Dormael développe une trame connue à mi-chemin entre RAIN MAN et MARY POPPINS. En effet, un banquier ultraconformiste redécouvre les plaisirs véritables de la vie au contact d'un jeune mongolien plongé dans son monde fantaisiste. Prenant des allures de conte ou de fable, Le Huitième jour comporte cependant de nombreuses ruptures de ton qu'un scénario artificiel ne parvient pas à réconcilier. En particulier, les éléments fantaisistes s'intègrent mal à l'ensemble et la dernière partie dérape vers un sentimentalisme exacerbé. Il en résulte une oeuvre déséquilibrée, où de bonnes trouvailles visuelles côtoient des effets faciles et où le dynamisme de la réalisation ne peut racheter les incongruités du récit. Le jeu sensible et sincère de Daniel Auteuil et de Pascal Duquenne réussit à rendre crédibles des personnages qui manquent toutefois de profondeur.

Synopsis

Année
1996Genre
Comédie dramatiqueDurée
123 min.Origine
BelgiqueInformation
Classification

Genre
Comédie dramatique
Année
1996
Durée
123 min.
Réalisation
Scénario
Photographie
Musique
Montage
Pays
Belgique
France
Distribution
C/FP
Production
Images

