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Ernest frappe encore (Ernest Rides Again)

G
1993 · · Ernest Rides Again (ang)
100% est d'accord avec la cote
Avec un ami professeur, un hurluberlu se met à la recherche d'un vieux canon où seraient cachés les joyaux de la Couronne britannique.
Scénario sans queue ni tête. Gags burlesques usés. Réalisation banale. Cabotinage à outrance des interprètes.

L'avis de Mediafilm

Rien ne sert de chercher un semblant de cohérence ou de logique dans ce scénario sans queue ni tête. Pour les paresseux auteurs de ce navet alimentaire, seules semblent compter les affreuses grimaces du faciès élastique de l'incompétent Jim Varney, qui ponctuent cet interminable amoncellement de gags burlesques usés jusqu'à la corde. La banalité des situations, l'absence d'invention comique et le cabotinage à outrance d'interprètes sans talent réussissent à court-circuiter ce qui se voulait une folle poursuite dans la tradition de IT'S A MAD, MAD, MAD WORLD. À bout de souffle, la course s'achève avant même de véritablement commencer.

André Caron

Synopsis

Ernest P. Worrell occupe ses nombreux temps libres a ramasser de la ferraille et à semer la pagaille partout où il passe. Par hasard, il met la main sur une plaque de métal qui provient d'un vieux canon de la Révolution américaine, le Goliath, que l'on croyait disparu quelque part en Virginie. Cette plaque vient confirmer la théorie de son ami le professeur Abner Melon qui veut que les joyaux de la Couronne britannique ne se trouvent pas dans la Tour de Londres mais bien dans la bouche de ce formidable canon. Ernest accompagne le professeur dans cette course au trésor, alors qu'une bande d'agents anglais et un collectionneur d'antiquités sans scrupules se lancent à leurs trousses.

Année

1993

Genre

Comédie

Durée

94 min.

Origine

États-Unis

Information

Classification

G

Genre

Comédie

Année

1993

Durée

94 min.

Réalisation

Pays

États-Unis

Distribution

C/FP