Depuis la fin des années 30, Walter Valentino Liberace, virtuose excentrique du piano, est utilisé comme pianiste dans les cabarets et ce jusqu'au jour où Seymour Heller, un producteur de télévision, lui offre de jouer devant les caméras. Passant de la musique classique au populaire avec humour et énergie, il s'attire rapidement l'adoration du public. Devenu une cible de choix pour les magazines à potins, Liberace n'a qu'un seul désir: garder secrètes sa vie privée et son homosexualité. Il s'évertue à démentir à coup de poursuites judiciaires ces rumeurs jusqu'aux derniers moments de son existence. Gleen, son jeune compagnon, lui promet alors de ne révéler sa maladie, en l'occurrence le sida, qu'après sa mort.