L'avis de Mediafilm

Le premier film de la série ne manquait pas de vigueur dans sa présentation d'un cas outré d'auto-défense. L'épisode suivant se contentait de variations simplistes sur ce thème et le troisième chapitre surenchérit encore dans la charge et l'invraisemblance. Le récit n'est plus qu'un prétexte à une suite accrocheuse de violences, prétendument justifiées. On tombe dans la caricature pure et simple tant dans la description du justicier que de ses adversaires. La réalisation technique apparaît négligée et le jeu impassible de Charles Bronson fait penser à celui d'un automate.

Robert-Claude Bérubé